VIOLENCES, FÉMINICIDES ET BENZODIAZÉPINES
L’année 2022 se termine aussi mal qu’elle avait commencé, c’est-à-dire par des violences et des suicidesque j’attribue en grande partie aux prescriptions excessives et hors A.M.M., des « tranquillisants et dessomnifères », que le Professeur de psychiatrie Édouard Zarifian considérait comme de la « Cocaïne »light.
Ces drogues légales continuent de faire des ravages dans une indifférence généralisée et confortée par des prescripteurs « médecins dealers », déjà dénoncés dans le reportage de Science & Vie en janvier 1989.
Pour autant, les témoignages parvenus à l’AAAVAM depuis plus de 30 années sont peu nombreux, les ayants droit considérant, pour la plupart, le sujet comme étant « tabou ».
Pour ce qui concerne la pharmacovigilance comme dans les autres catastrophes de médicaments l’Agence de Sécurité (ANSM) et la HAS restent complices de ces crimes et suicides par milliers chaque année !
Une Action de Groupe Santé nous semble difficile à mettre en place, notre dernier rendez-vous de novembre avec nos avocats conseils n’a pas permis d’envisager dans l’immédiat cette solution juridique, même chose pour le pénal.
Actuellement seules des Actions de Prévention pour faire diminuer la consommation de ces drogues légales permettraient de faire baisser les passages à l’acte violent et les suicides, les viols, les féminicides, les accidents du travail et de la circulation, Etc.,.
Une expérience avait été réalisée en psychiatrie dans une ile du nord de l’Europe, avec une diminution des prescriptions de Benzodiazépines ce qui avait apporté une diminution des passage à l’acte suicidaire de l’ordre de 65 % !
Je demande au nom de notre Association que des analyses toxicologiques soient systématiques dans les passages à l’acte suicidaires et les actes de violence en général, ainsi qu’une pharmacovigilance en temps réel par les données de la Sécurité Sociale (Big Data) pour l’ensemble de la pharmacopée.
Notre Bulletin d’informations sur nos Actions de Groupe Santé (Androcur®, Agreal®), pour le procès Mediator® « 2 » et les actions individuelles contre des médicaments défectueux sera publié gracieusement sur notre site internet fin décembre 2022, le Bulletin « papier » sera expédié par la Poste en janvier 2023 aux adhérents qui en feront la demande.
Bon courage aux victimes, pour les fêtes de fin d’année.
Georges Alexandre Imbert
Président de l'AAAVAM
CORONAVIRUS
CORONAVIRUS Pandémie
L’AAAVAM est comme beaucoup d’Association confrontée au COVID-19, pour autant nous restons à votre écoute par E-Mail, par courrier et le cas échéant par téléphone de 9 H à 12 H et de 14 H à 17 H
En cas d’absence vous pouvez laisser un message.
Les bureaux du 10 rue de la Paix 75002 Paris ne sont pas accessibles au public, mais vous pouvez déposer des documents sous enveloppes à l’huissier au rez-de-chaussée.
Nous restons disponibles pour vous aider dans vos démarches pour faire reconnaitre votre statut de Victime, défendre vos droits et obtenir par des Actions de Groupe Santé ou individuellement l’indemnisation de tous vos préjudices.
Prenez soin de vous et de vos proches.
TUERIE FAMILIALE
Tuerie familiale : quatre morts et un blessé grave !
Fin d’année bien triste pour la Gendarmerie Nationale.
Le « forcené » s’est surpassé pour surprendre des Gendarmes habitués et formés pour contenir ce type de situations.
Seule explication : les drogues illégales (cocaïne), ou plus vraisemblablement les drogues légales (Tranquillisants et Somnifères) ordonnées par des médecins inconscients de la dangerosité de ces substances vénéneuses.
Le « forcené » étant décédé, les analyses toxicologiques ne seront pas publiées avant longtemps et l’affaire sera classée !
Pourtant l’AAAVAM n’a cessé, depuis 29 ans de prévenir les plus hautes autorités politiques et l’ANSM, une « Alerte » officielle a même été acceptée en 2016 par le Professeur Agnès Buzyn, mais à ce jour toujours pas de décision de la part de la HAS.
L’augmentation des prescriptions d’anxiolytiques « Benzodiazépines », suite à la Pandémie « Covid-19 » va multiplier ces Crimes sous tranquillisants, les suicides et les accidents de la circulation.
Bien triste Noël
Georges Alexandre Imbert
Alternative Santé
Un reportage exclusif sur les dangers des Tranquillisants et des Somnifères.
Ci-joint le lien pour télécharger gratuitement le magazine.
Accident de Cars
Malgré L'accident survenu le 31 juillet 1982 sur l'autoroute A6 près de Beaune, en Côte-d'Or. Accident routier le plus meurtrier en France à ce jour, il a fait 53 morts dont 44 enfants et adolescents âgés de 6 à 15 ans. La plupart des victimes se trouvaient à bord d'un autocar qui a pris feu à la suite de l'accident et étaient originaires de la commune de Crépy-en-Valois dans l'Oise.
44 enfants brulés vifs, auraient du interpeler la délégation Interministérielle à la Sécurité Routière et aussi le Ministre des transports Charles Fiterman (communiste), malheureusement, il n’en a rien été ces accidents continuent comme plus récemment à Puisseguin avec une cinquantaine de morts également brulés vifs.
Les anxiolytiques Alcool, mais aussi les « tranquillisants et les somnifères » Anxiolytiques à base de Benzodiazépines sont impliqués dans la plupart de ces catastrophes.
L’AAAVAM a longtemps demandé que des mesures de prévention soient mises en place, mais n’a obtenu que des « pictogrammes » sur les boîtes de ces drogues légales, en 2016, 35 ans après l’accident de Beaune, toujours aucune analyse toxicologique, aucun contrôle routier, les fonctionnaires responsables sont parfaitement au courant mais ils restent dans le silence.
L’AAAVAM réclame des mesures de prévention, des contrôles aléatoires des drogues légales et illégales, les services de Police et de la Gendarmerie sont en mesure de faire ces contrôles.
Pour les conducteurs de CARS, de camions, mais aussi pour les personnels navigant des compagnies d’aviation, des contrôles réguliers, comme pour la SNCF tous les 6 mois, avec interdiction de conduire ou de piloter sous l’empire de ces drogues, sont indispensables
Tous responsables et coupables, même les Associations de lutte contre la violence routière (à l’exception de la Prévention Routière, sont bien silencieuses sur ce sujet.
Sécurité Routière
L’AAAVAM a été sollicitée de nombreuses années pour enquêter avec les services de Police et de Gendarmerie lors d’accidents de la circulation graves ou mortels. Notre participation « bénévole » à ces enquêtes était principalement motivée lorsque des drogues légales ou illégales avaient favorisé l’accident.
Depuis quelques temps nous ne sommes plus sollicités, seuls subsistent les « pictogrammes » que nous avions préconisés, mais qui comme l’ont démontré de récentes études de l’INSERM, ces logos n’ont que très peu d’impacts sur les drogués légaux ou pas !
Si certaines pathologies graves et douloureuses obligent les patients à recourir à de la morphine, ceux-ci sont peu nombreux à utiliser un véhicule automobile ; par contre une étude de la Prévention Routière a confirmé les dires de notre Association : seuls les « tranquillisants et les somnifères » de la classe des anxiolytiques à base de Benzodiazépines sont responsables d’accidents graves ou mortels de la circulation.
Comme avec la « cocaïne », les tranquillisants et les somnifères permettent à leurs utilisateurs de se surpasser aux volants des véhicules (voitures, motos, cars, camions, Etc.) , mais les enquêtes ont aussi démontré que les piétons, cyclistes Etc., prenaient parfois des risques inconsidérés, renforcés par la « Loi Badinter » qui encourage l’incivisme.
Entre hypocrisie et bêtise administrative la Délégation Interministérielle à la Sécurité Routière, et l’ANSM, vont modifier ces « pictogrammes », bien que sachant qu’ils ne sont pas efficaces, ces deux administrations vont continuer à dissimuler maladroitement la Violence Routière et les passages à l’acte suicidaire engendrés par ces pilules.
Au lieu de nous endormir avec des décisions sans intérêt, il serait plus utile d’avoir le courage de faire de la prévention dans un pays où les prescriptions de tranquillisants et de somnifères sont très élevées et ordonnées en infraction avec les autorisations de mises sur le marché (A.M.M.).
Une Indemnisation équitable
L'Associations AAAVAM lutte contre les accidents de la circulation favorisés par les anxiolytiques (tranquillisants et somnifères), nous faisons partie de la Sécurité Routière.
Nous sommes à la disposition, avec des médecins conseils de blessés, des Victimes impuissantes, à la merci des compagnies d'assurances qui leur proposent souvent une indemnisation insufisante.
L'AAAVAM assiste efficacement les Victimes dès les premières démarches pour obtenir une indemnisation équitable et supérieure à celle que leur propose la compagnie d'assurances, même s'il s'agit de leur propre compagnie !
Dores et déjà, informez ces personnes de n'acepter aucune proposition d'indemnisation avant de nous avoir contacté.
COMMUNIQUE MEDIATOR AAAVAM
Prévenus par un « mystérieux » correspondant d’une chaine publique de télévision qu’une conférence de Presse devait se tenir à l’ONIAM le 23 janvier 2014 au sujet de la catastrophe du « Mediator » nous nous sommes rendus sur place à Bagnolet !
Comme cela était prévisible, et bien que notre association publie régulièrement un « bulletin d’information », enregistré régulièrement à la BNF, pour ses 10.000 adhérents dont près de 3000 Victimes du Mediator, l’accès nous a été interdit !
Toutefois, notre déplacement n’aura pas été inutile, ainsi nous avons pu constater le peu de journalistes présents et nous avons finalement été reçus rapidement par un fonctionnaire de la direction juridique de cette administration, à laquelle nous avions participé lors de sa création.
Nous avons pu constater que nos divergences sont toujours très profondes, à savoir :
· Inégalité de traitement des Victimes des accidents et des maladies liés aux médicaments.
· Pourcentage du barème « spécial » d’invalidité inexistant pour l’affaire Mediator (0%) et toujours de 24% pour les autres affaires (médicales et iatrogènes).
· Lourdeur des expertises médicales, qui aboutit à une lenteur contraire à la Loi qui profite aux laboratoires pharmaceutiques.
· Modicité des sommes proposées et acceptées par l’ONIAM pour les réparations, ces propositions émanant des adversaires et non d’une autorité judiciaire indépendante !
Pour le représentant de l’ONIAM qui nous a reçus, nous n’avons que constaté un manque total de compassion, mélangée à une autosatisfaction toute bureaucratique contre les Victimes, ces fonctionnaires ne semblent pas avoir pris conscience que l‘ONIAM se doit de défendre des blessés, que son rôle consiste à leur venir en aide par des indemnisations rapides et équitables.
En ce qui concerne les indemnisations, elles sont bien loin de pouvoir enrichir les malades, celles-ci permettent par leur modicité de conforter les bénéfices pharamineux des multinationales de la pharmacie. Les cabinets d’avocats étrangers profitent aussi de nos lois rétrogrades pour s’enrichir sur le dos des Victimes.
Bien que depuis quelques temps les Magistrats des tribunaux débordés se prennent pour des « médecins experts » et qu’ils fassent le tri des demandes d’expertises, ce qui de notre point de vue est illégale, nous continuerons à donner la préférence à l’institution Judiciaire et à attendre que l’ONIAM fasse l’objet d’une réforme qui lui confèrerai sa vocation première : défendre les Victimes, pas les Multinationales de la pollution pharmaceutique.
Association d'Aide Aux Victimes de la pilule Diane 35
Bayer a encore frappé !
Invraisemblable après le scandale du Staltor et du Cholstat anti cholestérols retirés du marché en 2001, voici celui de la pilule Diane 35 qui elle est toujours sur le marché malgré de très nombreuses alertes, le premier décès datant des années 1980 !
32 ans que Bayer trompe les femmes avec ce médicament pour l’acné, le mésusage autorisé par les autorités sanitaires est flagrant, les médecins prescripteurs sont aussi responsables d’un nombre de victimes qui ne cessera pas d’augmenter si des études le permettent.
La liste des effets indésirables est si longue dans le dictionnaire Vidal qu’elle est difficile à lire, il est évident que le laboratoire Bayer a ouvert le parapluie de manière à répondre aux assignations en justice que les effets indésirables étaient mentionnés et qu’ils ne sont pas responsables !
La notice n’est pas un contrat, il s’agit de simples informations qui en aucun cas ne peut valoir acceptation de la part du patient utilisateur d’un médicament qu’il considère conforme et sûr.
L’AAAVAM a déjà fait condamner Bayer, mais les procédures sont si difficiles pour les Victimes que beaucoup renoncent. Pour cette affaire Diane 35, dès maintenant nous allons regrouper les Victimes pour une « class action » à la française.
La guerre est déclarée !
La guerre est déclarée avec certains Présidents de Tribunaux ! En effet, les demandes d’expertises judiciaires médicales des Victimes des médicaments sont, depuis quelques temps, refusées sous des prétextes futiles.
Le juge deviendrait-il médecin malgré lui?
Ces Juges ont-ils reçu des instructions de Madame Taubira Ministre de la Justice ou des Compagnies d’assurances, nous ne le savons pas encore, s’agit-il d’un mouvement corporatiste en raison de l’augmentation du contentieux lié à l‘affaire du Mediator ?
J'avoue que je ne comprends pas bien le tir de barrage actuel des tribunaux contre les Victimes.
À Douai dans le Nord de la France, la Présidente de cette Cour d’Appel a même condamné une Victime a payer la somme de 4000 euros en s’appuyant sur des informations diffusées par la Multinationale Bayer ! Avec des proches médecins ; cette Présidente a franchi la ligne jaune et nous ne pouvons que la soupçonner de partialité, voire d’avoir commis un « déni » de Justice.
Heureusement, et malgré les difficultés et les lois mis en travers de la route des blessés par des politiciens corrompus, l’AAAVAM continue de faire confiance dans notre Justice. Des expertises médicales Judiciaires sont en cours, les médecins experts sont peu généreux avec les Victimes, les préjudices sont minimisés, toutefois la responsabilité des produits défectueux est mise en avant pour le bien de la population et aussi pour l’amélioration de la médecine.
Un conseil aux victimes qui ont des actions judicaires en cours ou à venir, faire établir un pré-rapport par un médecin conseil du recours afin de conforter son dossier médical. Un pré-rapport est peu onéreux et peut faire l‘objet d’un remboursement par son assurance de « protection juridique ».
Les Expertises médicales judicaires
Depuis 20 ans notre Association n’a de cesse de dénoncer la partialité des expertises médicales judiciaires ou administratives, partialité le mot est faible car bien souvent il s’agit davantage de corporatisme et parfois de corruption !
Nous ne parvenons pas à comprendre comment la plupart des Magistrats acceptent de n’être que des pions sans valeur en face des médecins experts tout puissants par le savoir qu’ils se sont souvent attribués.
La médecine est scientifique, le médecin expert exerce l’art médical, la valeur des avis émis sont toujours entachés du « doute », qui profite aux multinationales de la pharmacie.
Dans le domaine de la « pharmacologie » les liens d’intérêts souvent peu visibles sont pourtant très présents, les avis des experts en pharmacologie sont au minimum partiaux !
Comment après une vie passée au service de la pharmacologie demander à ces spécialistes de scier la branche sur laquelle ils sont confortablement installés, problème insoluble !
Le non respect des délais : comment concevoir qu’une victime d’un accident des médicaments puisse demander une contre-expertise, après parfois une attente de 3 ans pour obtenir un premier avis ?
Les « référés » expertises, depuis quelques temps sont obtenus très difficilement, et pendant que les lenteurs de la justice court contre les Victimes, ce temps qui compte triple pour un malade bénéficie aux assureurs des laboratoires pharmaceutiques.
Le coût exorbitant : Ces expertises judicaires, lorsque l’on a pas d’assurance de « protection juridique » pour les prendre en charge, sont inabordables!
Une victime est souvent privée de la plupart de ses revenus, avoir à financer deux expertises judiciaires pour un montant de 6 000 € avec en plus les acomptes sur honoraires des avocats parfois gourmands, c’est lui enlever toute possibilité d’obtenir la réparation de ses préjudices en justice.
· Notre Association demande que ces parodies de Justice cessent, que les délais soient respectés par les médecins experts sous peine de retenues proportionnelles sur leurs honoraires.
· Également, il nous semble équitable que comme aux Etats-Unis les Victimes puissent présenter leur version médicale des faits et que les expertises des médecins conseils de blessés soient considérées comme « contradictoires » avec les expertises judicaires.
Le Juge ne sert actuellement qu’à entériner les avis des médecins experts judiciaires, avec des expertises contradictoires, le Juge serait un véritable arbitre, sa présence serait réelle et enfin utile à la démocratie.
MEDIATOR INFORMATION
Vous avez été exposé au Mediator (benfluorex) au cours de ces dernières années. Voici quelques informations concernant les risques cardiovasculaires mis en évidence et révélés au grand public ces derniers mois.
Deux types de complications distinctes sont décrits :
1) Valvulopathies
(atteintes des valves du cœur par fuite valvulaire) :
Celles-ci sont de survenue rare, notamment en ce qui concerne les valvulopathies sévères (moins de une valvulopathie grave pour mille personnes exposées chaque année)
-Si des atteintes minimes peuvent être observées après quelques mois de prise de Mediator, les atteintes plus importantes surviennent plutôt après quelques années d’exposition au Mediator.
-Toutes les valves cardiaques peuvent être touchées, parfois simultanément. Les quatre valves du cœur s’appellent les valves aortique, mitrale, tricuspide et pulmonaire.
-Sous l’effet du Mediator les valves peuvent s’épaissir, devenir fibreuses, ce qui va gêner leur bon fonctionnement et être responsable de fuite ou insuffisance valvulaire (selon les valves on parlera d’insuffisance aortique, mitrale, tricuspide ou pulmonaire). L’importance de la fuite sera estimée par un grade de 1 (fuite minime) à 4 (fuite importante). Tous ces éléments sont dépistés et analysés par la réalisation d’une échographie cardiaque.
- Selon leur importance ces fuites peuvent n’entrainer aucune gêne ou au contraire certains symptômes comme un essoufflement à l’effort, des douleurs thoraciques, des palpitations nécessitant un traitement médical et parfois un remplacement chirurgical des valves malades. On ne connait pas parfaitement l’évolution de ces fuites après l’exposition au Mediator, une proportion se stabilise ou s’améliore et une autre peut s’aggraver. Ainsi la surveillance et la conduite thérapeutique doit être définie avec le cardiologue au cas par cas.
-Lorsqu’une échographie cardiaque ne montre pas d’anomalie des valves après l’arrêt de l’exposition (cas le plus fréquent), il est très improbable que surviennent des anomalies tardives et l’on peut être rassuré.
-Enfin, à ce jour, il n’a pas été rapporté de lien de causalité entre prise de Mediator et des maladies comme : l’hypertension artérielle (HTA), l’infarctus et les atteintes des coronaires (angine de poitrine), les rétrécissements des valves du coeur et les troubles isolés du rythme cardiaque. De même il existe d’autres causes que le Mediator aux fuites valvulaires (rupture de cordage, dégénérescence liée à l’âge et calcifications, antécédent de rhumatisme articulaire aigu, endocardite par infection…) qui doivent être écartées avant d’évoquer le rôle du Mediator.
-Si vous disposez d’anciennes échographies de votre cœur, il peut être utile de les comparer aux examens récents.
2) Hypertension artérielle pulmonaire
(HTAP, à ne pas confondre avec l’HTA « banale » que l’on mesure au bras) :
- Il s’agit d’une augmentation de la pression mesurée dans les artères pulmonaires et traduisant une gêne à la circulation pulmonaire.
-Une HTAP peut être la conséquence directe d’une fuite valvulaire
-L’exposition au Mediator peut être un facteur de risque d’HTAP sans valvulopathie associée. Ce risque est probablement très rare mais persiste après l’arrêt de l’exposition au médicament.
-Le symptôme essentiel de l’HTAP est l’essoufflement anormal à l’effort. L’HTAP est dépistée par l’échographie cardiaque.
-Si une HTAP est suspectée à l’échographie cardiaque, votre cardiologue va tenter d’en établir la cause. S’il n’y a pas de lien avec une valvulopathie ou une autre maladie du coeur, il faudra consulter dans un centre spécialisé du réseau français de l’HTAP (centre national de référence ou centre régional de compétence de l’HTAP) où des examens complémentaires et une prise en charge seront proposés.
MEDIATOR INDEMNISATION
MEDIATOR INDEMNISATION
L’Association d’aide aux Victimes des Accidents des Médicaments (AAAVAM) rappelle qu’elle est agrée par le Ministère de la Santé, et la seule Association généraliste et globale spécialisée dans les accidents des médicaments.
Elle n’est pas un cabinet d’avocats ou une officine commerciale !
Notre Association, privilégie les résolutions amiables des accidents liés aux médicaments, plutôt que des procédures juridiques toujours longues et pénibles pour des malades.
Notre Association a géré la grande majorité des dossiers Isoméride médicament appartenant au même groupe pharmaceutique que le Mediator.
C’est pourquoi nous nous faisons fort d’obtenir du Laboratoire Servier une ouverture à toutes transactions dans la mesure où les dossiers seront bien documentés et présentés par l’AAAVAM (Association agrée par le Ministère de la Santé).
L’AAAVAM aidera les victimes à constituer leurs dossiers, afin d’obtenir le cas échéant une indemnisation dans de bien meilleurs délais que par toutes procédures judiciaires.
Déferlante de Suicides à France Télécom
Madame Roselyne BACHELOT
Ministère de la Santé
14, avenue Duquesne
75007 PARIS
Paris le samedi 11 septembre 2010,
Madame la Ministre, Les activités de notre Association ne doivent pas consister seulement à critiquer les dysfonctionnements que nous constatons par la réception de milliers de témoignages des familles ; nous essayons aussi de contribuer à l’amélioration des services de santé.
Ainsi, spécialisés depuis 18 ans dans la recherche des causes des suicides et des homicides nous ne pouvons rester silencieux après la nouvelle déferlante de suicides à France Télécom.
Il y a à notre avis trois raisons principales à cette hécatombe :
· la première tient au recrutement de certains personnels de cette importante société, leurs traits de caractère (sensibilité exacerbée) n’ont certainement pas échappé aux psychiatres.
· La deuxième raison, celle dénoncée par les Syndicats, c’est la « pression » exercée sur ces personnes par le système d’organisation du travail.
· La troisième raison ce sont les soins et les traitements ordonnés par des médecins totalement incompétents face aux inextricables situations créées de toutes pièces par l’organisation méthodologique du travail.
Les dépressions dont sont victimes ces personnels, rejaillissent au sein du noyau familiale créant ainsi toutes les conditions nécessaires pour des autolyses réussies ; il ne reste plus qu’à passer à l’acte grâce aux anxiolytiques ordonnés à profusion par des médecins souvent eux même victimes de ces drogues légales, en effet, le nombre des suicides et de drames est aussi très important pour le corps médical.
Nous avons l’honneur d’attirer votre attention sur une publication récente dans le Journal de Psychiatrie au Canada, faisant référence à une étude sur les « tranquillisants et les somnifères » psychotropes cités comme responsables d’une importante augmentation de la mortalité par suicide.
En ce qui concerne la France, cela fait bien longtemps que notre Association dénonce ce phénomène et demande des études sérieuses sur ce problème majeur de santé publique.
Notre Association a obtenu en l’an 2000 la modification du RCP, il a été ajouté à notre demande « Peut favoriser un passage à l’acte suicidaire », pour autant le Ministère de la Santé et la HAS n’ont rien entrepris pour modifier les pratiques des prescripteurs.
Les médicaments de cette classe dérivés du Valium®, à bases de benzodiazépines, favorisent le passage à l’acte suicidaire, mais aussi les homicides, délivrés sans retenue et en-dehors des A.M.M. on les retrouve comme facteurs déclenchant dans des affaires de crimes sexuels et autres récidives.
Devant la gravité de la situation, nous demandons la création d’une commission d’enquête destinée à faire des propositions pour faire cesser ces incitations aux suicides et aux homicides, nous avons l’honneur de vous demander Madame le Ministre de nous associer à cette mission d’intérêt général.
Nous restons à votre disposition et aussi à celle de vos services, nous vous prions de croire, Madame la Ministre, en nos sentiments les plus respectueux.
Georges Alexandre IMBERT Président de AAAVAM
Vaccin contre l'hépatite B
A LA UNE de la République du Centre Justice, vaccin contre l'hépatite B :
un laboratoire responsable d'une sclérose en plaques
Publié le 01 juin 2010 - 17:07
Une première au tribunal d'Orléans C’est une première à Orléans : le tribunal vient de reconnaître un lien de causalité entre l’administration d’un vaccin contre l’hépatite B et le développement d’une sclérose.
Pour la première fois, le tribunal de grande instance d’Orléans vient de reconnaître un lien de causalité entre l’administration d’un vaccin contre l’hépatite B et le développement d’une sclérose en plaques.
Le tribunal a été saisi par Alexandra, une mère de famille de 31 ans, chez qui le mal est apparu en 1996. La jeune femme soutient qu’elle a contracté cette maladie invalidante un an plus tôt, alors qu’elle venait de subir deux injections d’un vaccin contre l’hépatite B, censé la prémunir des cancers du foie.
Victime d’engourdissements puis de paralysies, Alexandra a appris, en juin 1997, qu’elle était atteinte d’une sclérose en plaques. Jusqu’à présent, saisi de dossiers similaires, le tribunal d’Orléans s’était montré réticent à reconnaître un lien entre le vaccin et la maladie.
Suicides à France Télécom
Depuis que l’affaire des suicides à France Télécom a été transmise à la Justice, nous ne cessons d’entendre sur toutes les chaines de radios et de télévisons une « psychiatre » particulièrement virulente à l’encontre des sociétés et principalement contre France-Télécom.
Il est évident que le « stress » au travail, tout comme le fait de ne pas avoir de travail, sont des facteurs qui peuvent mener au stade ultime de la dépression, c’est-à-dire au suicide.
Pour autant, pas une seule fois, les journalistes ou chroniqueurs n’ont posé la question qui dérange à ce médecin !
Les soins et les psychotropes ordonnés sont-ils appropriés ?
En pratique, peu de témoignages sont remontés jusqu’à notre Association, le suicide et les médicaments c’est « tabou », toutefois en l’absence de statistiques fiables, nous accusons le corps médical de mauvais traitements envers les personnes dépressives.
Les anxiolytiques ordonnés contre le stress, favorisent le passage à l’acte suicidaire chez les personnes dépressives.
Si les médecins continuent de prescrire des tranquillisants et des somnifères à des patients dépressifs, les suicides continueront chez France Télécom et consort.
En résumé il faut choisir : régler la facture de centaines de suicides au titre des accidents du travail, ou remettre en cause les pratiques médicales ?
Depuis bientôt ½ siècle, les suicides et les homicides sont favorisés pour la plupart par le Valium et autres succédanés plus modernes à base de benzodiazépines, la question d’en limiter l’utilisation ne semble pas effleurer un seul instant les esprits des éminences grises qui nous gouvernent !
ANTI CHOLESTEROLS BAYER