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GEORGES-ALEXANDRE IMBERT
GEORGES-ALEXANDRE IMBERT PRESIDENT DE L’AAAVAM

Issu d’une famille de médecins, Georges-Alexandre Imbert travaille de nombreuses années dans le droit immobilier avant de cesser son activité en 1992 après le décès de son fils.

Il crée alors l’AAAVAM dont il est depuis le président.

Son expertise l’a également amené à s’occuper des questions de sécurité routière en lien avec l’usage de médicaments pour la préfecture de Paris (1995-2005).
Il publie en 2011 Crimes sous tranquillisants (éditions du Dauphin), qui relate les affaires criminelles les plus sanglantes commises sous l’emprise de tranquillisants et apporte un éclairage scientifique et économique sur le marché des médicaments.

Aujourd’hui, il continue de consacrer l’essentiel de son temps à aider les victimes de médicaments.
L’AAAVAM QUI SOMMES-NOUS ?

L’AAAVAM a été fondée en 1992, suite au nombre de suicides de plus en plus élevés en France, imputables aux benzodiazépines.

BUTS DE L’ASSOCIATION :

PRÉVENIR les Citoyens des dangers de certains médicaments aux effets indésirables et paradoxaux très graves mal indiqués dans les notices d’utilisation ou dans le dictionnaire VIDAL®
OBLIGER les médecins à avertir du danger de dépendance des drogues légales
FAIRE INTERDIRE de la prescription courante les tranquillisants et les somnifères, les anti-cholestérols, certains anti-douleurs et autres « produits de santé » trop actifs
AIDER À FAIRE RÉVISER les procès où ces médicaments ont été responsables de crises de violence ayant entraîné « mort d’homme ».
FAIRE RÉEXAMINER la nomination des médecins experts judiciaires auprès des Tribunaux.
FAIRE INDEMNISER de manière équitable et automatique les victimes ou leur famille.
FAIRE POURSUIVRE par la Justice les responsables sanitaires.
REPRÉSENTER les utilisateurs, auprès des services de pharmacovigilance, et des C.R.C.I.

Buts de l'association Buts de l'association
AAAVAM
GEORGES-ALEXANDRE IMBERT
EDITO Assemblée Générale et Colloque de l’AAAVAM le 6 Octobre 2023

Comme chaque année depuis 1992 (31 ans) l’association d’aide aux victimes des médicaments AAAVAM va se réunir en Assemblée Générale au Fiap à Paris 75014, cette assemblée statutaire le vendredi 6 Octobre 2023 sera suivie à 14 H d’un « Colloque » avec des spécialistes (médecins, avocats, Etc).

 

Depuis les découvertes des années 1853 de l’« Aspirine » : l’acide acétylsalicylique synthétisé.

Merveilleux Aspirine ! Les autorisations de mise sur le marché sont réglées par une balance « bénéfice/risque » pseudo-scientifique, mais principalement politique.

Toutefois cette doctrine a récemment été mise à mal par le témoignage en mars 2023 de Jean Marimbert ancien Directeur de l’Agence du médicament (Afssaps) au moment du retrait du Mediator® en 2009.

 

En effet, lorsque le Président de la Cour d’Appel de Paris Monsieur Olivier Géron, au bout de 8 heures d’interrogatoire de Jean Marimbert haut fonctionnaire et conseiller d’État, a posé cette question : pourquoi, alors qu’il était informé des dysfonctionnements de la « pharmacovigilance » en raison principalement des sous-déclarations des accidents et maladies liés aux médicaments, il était resté dans un silence criminel pour le Mediator® ?

 

Jean Marimbert a reconnu sa faute lourde ! Toujours à la demande du Président de la Cour, le haut fonctionnaire a précisé que désormais la pharmacovigilance devrait tenir compte, comme cela a été le cas pour le Mediator®, grâce au combat du Docteur Irène Frachon, du croisement des fichiers informatiques des données de santé (Big Data).

 

Depuis ces déclarations, les responsables Européens, les Ministres de la santé en tête devront tenir compte de cette déclaration sous serment de ce Conseiller d’État Français, pour ne pas prendre le risque d’être poursuivi par la Justice, ils devront faire modifier les pratiques scientifiques et industrielles des laboratoires pharmaceutiques.

 

Il est évident que des retraits et des précautions d’usage doivent être mises en place rapidement par Prévention et aussi pour éviter l’augmentation des accidents et des maladies liés aux médicaments.

 

Les actes de Violence favorisés par des distributions massives d’anxiolytiques font aussi partie des revendications de l’AAAVAM pour des actions de Prévention.

Hippocrate

« Primum non necere » fut proposé par Hippocrate dans son traité des épidémies. Ce « D'abord ne pas nuire » peut sembler une évidence, mais comme tout remède comporte des effets secondaires, aucun soin n'est inoffensif.

ACTUALITE VIOLENCES, FÉMINICIDES ET BENZODIAZÉPINES

L’année 2022 se termine aussi mal qu’elle avait commencé, c’est-à-dire par des violences et des suicidesque j’attribue en grande partie aux prescriptions excessives et hors A.M.M., des « tranquillisants et dessomnifères », que le Professeur de psychiatrie Édouard Zarifian considérait comme de la « Cocaïne »light.

Ces drogues légales continuent de faire des ravages dans une indifférence généralisée et confortée par des prescripteurs « médecins dealers », déjà dénoncés dans le reportage de Science & Vie en janvier 1989.

Pour autant, les témoignages parvenus à l’AAAVAM depuis plus de 30 années sont peu nombreux, les ayants droit considérant, pour la plupart, le sujet comme étant « tabou ». 

Pour ce qui concerne la pharmacovigilance comme dans les autres catastrophes de médicaments l’Agence de Sécurité (ANSM) et la HAS restent complices de ces crimes et suicides par milliers chaque année !

Une Action de Groupe Santé nous semble difficile à mettre en place, notre dernier rendez-vous de novembre avec nos avocats conseils n’a pas permis d’envisager dans l’immédiat cette solution juridique, même chose pour le pénal.

 

Actuellement seules des Actions de Prévention pour faire diminuer la consommation de ces drogues légales permettraient de faire baisser les passages à l’acte violent et les suicides, les viols, les féminicides, les accidents du travail et de la circulation, Etc.,. 

Une expérience avait été réalisée en psychiatrie dans une ile du nord de l’Europe, avec une diminution des prescriptions de Benzodiazépines ce qui avait apporté une diminution des passage à l’acte suicidaire de l’ordre de 65 % !

Je demande au nom de notre Association que des analyses toxicologiques soient systématiques dans les passages à l’acte suicidaires et les actes de violence en général, ainsi qu’une pharmacovigilance en temps réel par les données de la Sécurité Sociale (Big Data) pour l’ensemble de la pharmacopée.

Notre Bulletin d’informations sur nos Actions de Groupe Santé (Androcur®, Agreal®), pour le procès Mediator® « 2 » et les actions individuelles contre des médicaments défectueux sera publié gracieusement sur notre site internet fin décembre 2022, le Bulletin « papier » sera expédié par la Poste en janvier 2023 aux adhérents qui en feront la demande.

 

Bon courage aux victimes, pour les fêtes de fin d’année.

Georges Alexandre Imbert

Président de l'AAAVAM

 

 



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