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Buts de l'association |
Les drogues légales et illégales sont principalement les facteurs déclenchants lors de féminicides, tueries, violences conjugales, viols, les médicaments anxiolytiques favorisent aussi le passage à l’acte suicidaire.
Depuis la mise sur le marché du Librium® puis du Valium® en 1957 par le laboratoire Suisse Hoffmann-la-Roche®, aucune mesure de prévention pour avertir les patients des effets indésirables de cette classe de psychotropes !
Malgré les alertes officielles de l’AAAVAM à la HAS en 2016, et aussi nos interventions depuis 31 ans auprès de l’Agence de « Sécurité » sanitaire (Afssaps et ANSM), toujours pas de prévention.
Cette Agence au service de l’état, qui a été condamnée en mars 2021 par le Tribunal Correctionnel de Paris, reste une honte pour les fonctionnaires de cette administration. Ils sont complices de ces milliers de suicides et de nombreux crimes commis en France chaque année, indubitablement favorisés par les Benzodiazépines.
Des accidents du travail et de la circulation sont aussi favorisés par ces pilules de Tranquillisants et de Somnifères, ainsi deux accidents de Cars scolaires avec à chaque fois des conducteurs sous « l’empire »de ces substances vénéneuses (Valium® et récemment Xanax®).
Les enfants ont été tués en raison des mesures de Prévention qui n’ont pas été ordonnées par nos dirigeants.
En 2022 toujours pas de Contrôles de toxicologie obligatoires par la Sécurité Routière, sauf pour certains personnels de la SNCF.
Ceux qui nous dirigent sont coupables et responsables de la mort de ces milliers de français « camés aux Benzodiazépines par des médecins dealers » (Science & Vie janvier 1989).
Le Président de l’AAAVAM Georges Alexandre Imbert est souvent cité pour témoigner aux Assises comme « témoin expert », malheureusement il est trop tard, seul le quantum de la peine est en général légèrement réduit dans des affaires souvent effroyables en raison de l’influence de ces drogues, la préméditation étant la signature caractéristique de ces psychotropes.
Par ailleurs, beaucoup de familles vivent sous l’empire de ces médicaments anxiolytiques, leurs conditions d’existences, notamment en raison d’une crise du logement non réglée depuis 1945 !
Incompétence de nos Dirigeants qui entassent les français dans des logements insalubres et dangereux comme à Marseille et Lille, ce qui incitent les français à se droguer pour survivre dans les quelques mètres carrés qui leurs sont loués à prix d’or.
Je conserve l’espoir que grâce aux actions de l’AAAVAM, cette hécatombe puisse enfin cesser ! (l’AAAVAM désignée en 1998 « Partenaire de la Justice » par le Président de la Cour d’Appel de Paris Guy Canivet).
En 2023 la prudence et l’intelligence de notre Président de la République l’emporteront elles sur la vénalité de certains politiciens, ainsi les vœux de bonne année et de santé pour 2023 seront sincères et véritables.
Georges Alexandre Imbert
Président de l’AAAVAM
Palme d’OR du Bénévolat
L’année 2022 se termine aussi mal qu’elle avait commencé, c’est-à-dire par des violences et des suicidesque j’attribue en grande partie aux prescriptions excessives et hors A.M.M., des « tranquillisants et dessomnifères », que le Professeur de psychiatrie Édouard Zarifian considérait comme de la « Cocaïne »light.
Ces drogues légales continuent de faire des ravages dans une indifférence généralisée et confortée par des prescripteurs « médecins dealers », déjà dénoncés dans le reportage de Science & Vie en janvier 1989.
Pour autant, les témoignages parvenus à l’AAAVAM depuis plus de 30 années sont peu nombreux, les ayants droit considérant, pour la plupart, le sujet comme étant « tabou ».
Pour ce qui concerne la pharmacovigilance comme dans les autres catastrophes de médicaments l’Agence de Sécurité (ANSM) et la HAS restent complices de ces crimes et suicides par milliers chaque année !
Une Action de Groupe Santé nous semble difficile à mettre en place, notre dernier rendez-vous de novembre avec nos avocats conseils n’a pas permis d’envisager dans l’immédiat cette solution juridique, même chose pour le pénal.
Actuellement seules des Actions de Prévention pour faire diminuer la consommation de ces drogues légales permettraient de faire baisser les passages à l’acte violent et les suicides, les viols, les féminicides, les accidents du travail et de la circulation, Etc.,.
Une expérience avait été réalisée en psychiatrie dans une ile du nord de l’Europe, avec une diminution des prescriptions de Benzodiazépines ce qui avait apporté une diminution des passage à l’acte suicidaire de l’ordre de 65 % !
Je demande au nom de notre Association que des analyses toxicologiques soient systématiques dans les passages à l’acte suicidaires et les actes de violence en général, ainsi qu’une pharmacovigilance en temps réel par les données de la Sécurité Sociale (Big Data) pour l’ensemble de la pharmacopée.
Notre Bulletin d’informations sur nos Actions de Groupe Santé (Androcur®, Agreal®), pour le procès Mediator® « 2 » et les actions individuelles contre des médicaments défectueux sera publié gracieusement sur notre site internet fin décembre 2022, le Bulletin « papier » sera expédié par la Poste en janvier 2023 aux adhérents qui en feront la demande.
Bon courage aux victimes, pour les fêtes de fin d’année.
Georges Alexandre Imbert
Président de l'AAAVAM
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Bulletin n°53 - Janvier 2023 |