Buts de l'association |
Bonne Année 2025 avec surtout une bonne Santé.
Avec le renouvellement de l’Agrément du Ministère de la Santé pour 5 ans, nous sommes soumis à certaines contraintes de représentation dans les CCI-Oniam, les Hôpitaux et les cliniques de France.
Une nouvelle fois nous faisons appel à nos adhérents pour représenter les Usagers dans les structures hospitalières et CCI-Oniam.
Cet agrément délivré pour cinq années est particulièrement important pour mener à bien les Actions de Groupe Santé contre des médicaments défectueux.
Nos assignations contre les Laboratoires Bayer et Sanofi de 2018/2019 sont toujours retardées par les lenteurs de la Justice ! Cette « lenteur », grâce à un vote de l’Assemblée Nationale, devrait diminuer avec de nouveaux textes de Loi sur les « class action » à la française.
L’année 2024 a été marquée par un fait-divers de soumission sous tranquillisants (affaire Pelicot), nous sommes surpris que la presse soit restée muette sur les responsabilités du médecin, du pharmacien et de l’état responsables de la surveillance des substances vénéneuses (Temesta).
En 2025 comme il y a 33 ans en 1992, nous combattrons par nos actions la violence contre autrui et soi-même (suicide) favorisés par les tranquillisants et les somnifères de la classe des benzodiazépines.
L’année 2022 se termine aussi mal qu’elle avait commencé, c’est-à-dire par des violences et des suicidesque j’attribue en grande partie aux prescriptions excessives et hors A.M.M., des « tranquillisants et dessomnifères », que le Professeur de psychiatrie Édouard Zarifian considérait comme de la « Cocaïne »light.
Ces drogues légales continuent de faire des ravages dans une indifférence généralisée et confortée par des prescripteurs « médecins dealers », déjà dénoncés dans le reportage de Science & Vie en janvier 1989.
Pour autant, les témoignages parvenus à l’AAAVAM depuis plus de 30 années sont peu nombreux, les ayants droit considérant, pour la plupart, le sujet comme étant « tabou ».
Pour ce qui concerne la pharmacovigilance comme dans les autres catastrophes de médicaments l’Agence de Sécurité (ANSM) et la HAS restent complices de ces crimes et suicides par milliers chaque année !
Une Action de Groupe Santé nous semble difficile à mettre en place, notre dernier rendez-vous de novembre avec nos avocats conseils n’a pas permis d’envisager dans l’immédiat cette solution juridique, même chose pour le pénal.
Actuellement seules des Actions de Prévention pour faire diminuer la consommation de ces drogues légales permettraient de faire baisser les passages à l’acte violent et les suicides, les viols, les féminicides, les accidents du travail et de la circulation, Etc.,.
Une expérience avait été réalisée en psychiatrie dans une ile du nord de l’Europe, avec une diminution des prescriptions de Benzodiazépines ce qui avait apporté une diminution des passage à l’acte suicidaire de l’ordre de 65 % !
Je demande au nom de notre Association que des analyses toxicologiques soient systématiques dans les passages à l’acte suicidaires et les actes de violence en général, ainsi qu’une pharmacovigilance en temps réel par les données de la Sécurité Sociale (Big Data) pour l’ensemble de la pharmacopée.
Notre Bulletin d’informations sur nos Actions de Groupe Santé (Androcur®, Agreal®), pour le procès Mediator® « 2 » et les actions individuelles contre des médicaments défectueux sera publié gracieusement sur notre site internet fin décembre 2022, le Bulletin « papier » sera expédié par la Poste en janvier 2023 aux adhérents qui en feront la demande.
Bon courage aux victimes, pour les fêtes de fin d’année.
Georges Alexandre Imbert
Président de l'AAAVAM
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Flash d'information - Janvier 2025 |