Buts de l'association |
Sécurité Routière
L’AAAVAM, créée en juillet 1992, a toujours lutté pour la Prévention des suicides et des actes de violence favorisés par les anxiolytiques sous forme de médicaments (tranquillisants et somnifères).
Pour les dangers de l’anxiolytique alcool nous n’intervenons pas, ces problèmes faisant l’objet de mesures de prévention de la part de l’État et d’associations dédiées.
Pendant des années nous avons été sollicités pour exécuter bénévolement des enquêtes concernant des accidents de la circulation favorisés par des drogues légales (psychotropes, benzodiazépines) et illégales comme la cocaïne.
Le Président Georges Alexandre Imbert de l’AAAVAM, bien que n’intervenant plus actuellement, reste toujours mobilisé comme Inspecteur de Sécurité Routière à la disposition du Préfet de Police de Paris (siège de l’AAAVAM depuis 32 ans).
Toutefois, force est de constater que malgré nos interventions l’absence de contrôle concernant les conduites de véhicules automobiles sous l’empire des drogues « légales et illégales », il en est de même pour les conducteurs de Cars et de Camions.
Le décès du Gendarme Éric Comyn nous touche profondément et au nom de l’AAAVAM je présente mes sincères condoléances et mon soutien à sa famille, à ses proches et à ses camarades de Mandelieu-la-Napoule qui était l’adresse du Général Paul Tarascon un « as » de l’aviation (guerre de 14/18) que j’ai souvent rencontré (Villa les Ailes).
Par ailleurs il serait utile, pour bien comprendre la violence de ce récidiviste, de publier les résultats des analyses toxicologiques.
Georges Alexandre IMBERT
Président de l’AAAVAM
L’année 2022 se termine aussi mal qu’elle avait commencé, c’est-à-dire par des violences et des suicidesque j’attribue en grande partie aux prescriptions excessives et hors A.M.M., des « tranquillisants et dessomnifères », que le Professeur de psychiatrie Édouard Zarifian considérait comme de la « Cocaïne »light.
Ces drogues légales continuent de faire des ravages dans une indifférence généralisée et confortée par des prescripteurs « médecins dealers », déjà dénoncés dans le reportage de Science & Vie en janvier 1989.
Pour autant, les témoignages parvenus à l’AAAVAM depuis plus de 30 années sont peu nombreux, les ayants droit considérant, pour la plupart, le sujet comme étant « tabou ».
Pour ce qui concerne la pharmacovigilance comme dans les autres catastrophes de médicaments l’Agence de Sécurité (ANSM) et la HAS restent complices de ces crimes et suicides par milliers chaque année !
Une Action de Groupe Santé nous semble difficile à mettre en place, notre dernier rendez-vous de novembre avec nos avocats conseils n’a pas permis d’envisager dans l’immédiat cette solution juridique, même chose pour le pénal.
Actuellement seules des Actions de Prévention pour faire diminuer la consommation de ces drogues légales permettraient de faire baisser les passages à l’acte violent et les suicides, les viols, les féminicides, les accidents du travail et de la circulation, Etc.,.
Une expérience avait été réalisée en psychiatrie dans une ile du nord de l’Europe, avec une diminution des prescriptions de Benzodiazépines ce qui avait apporté une diminution des passage à l’acte suicidaire de l’ordre de 65 % !
Je demande au nom de notre Association que des analyses toxicologiques soient systématiques dans les passages à l’acte suicidaires et les actes de violence en général, ainsi qu’une pharmacovigilance en temps réel par les données de la Sécurité Sociale (Big Data) pour l’ensemble de la pharmacopée.
Notre Bulletin d’informations sur nos Actions de Groupe Santé (Androcur®, Agreal®), pour le procès Mediator® « 2 » et les actions individuelles contre des médicaments défectueux sera publié gracieusement sur notre site internet fin décembre 2022, le Bulletin « papier » sera expédié par la Poste en janvier 2023 aux adhérents qui en feront la demande.
Bon courage aux victimes, pour les fêtes de fin d’année.
Georges Alexandre Imbert
Président de l'AAAVAM
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Bulletin n°64 - Juillet 2024 |